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Profil : Max St-Denis, champion de volleyball aux Jeux du Canada

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Max St-Denis

Par Ottawa Sportspage, Pour les Rebelles de Louis-Riel

Dire de Maxime St-Denis que le sport est inscrit dans ses gènes est une minimisation. L’étoile des Rebelles de l’école Louis-Riel a grandi au sein d’une famille de joueurs de volleyball de haut niveau.

Né de l’union de deux partenaires de volleyball de plage, Maxime a suivi les traces, non seulement de ses parents, François et Tammy, mais aussi de son frère aîné et ancien joueur de l’année de l’Ontario, Alexandre, diplômé de Louis-Riel en 2017.

Le cadet du clan St-Denis se souvient qu’avant même de jouer, il regardait les équipes d’école secondaire, entraînées par son père, qui est maintenant entraîneur adjoint d’Équipe Canada, lorsqu’il n’enseigne pas à Louis-Riel.

« C’est mon père qui m’a inspiré à jouer, souligne Maxime, qui s’est lancé dans ce sport à l’âge de 7 ans. J’ai commencé à jouer et j’ai réalisé que ça me passionnait. »

À 11 ans, il rejoint le club où François était entraîneur, les Mavericks d’Ottawa, et il a rapidement commencé à accumuler les honneurs. Souvent en partenariat avec les membres de sa famille (Maxime, Alexandre, François à titre d’entraîneur et Tammy à la gestion), la liste des championnats remportés par Maxime comprend les titres de la Fédération des associations du sport scolaire de l’Ontario et des clubs provinciaux, de même qu’une médaille d’or aux Jeux d’été du Canada de 2017.

L’élève de 12e année en sports-études affirme que le fait de faire partie du programme sportif spécialisé de Louis-Riel a joué un grand rôle dans ses succès.

« Si j’ai de la difficulté à faire des passes, le programme sports-études me permet d’y accorder du temps et d’être tout prêt pour mon entraînement de soirée, explique Maxime. C’est comme obtenir du temps de jeu supplémentaire. »

Un autre avantage important, ajoute-t-il, est l’entraînement personnel offert par l’entraîneur physique de l’école, Jean-Robert Léger, qui lui permet de se mettre en forme et de rester sur le terrain autant que possible.

L’amalgame des études et des sports de haut niveau l’a préparé pour la vie en tant qu’étudiant-athlète à l’université, affirme Maxime.

« Quand je voyage beaucoup, je dois m’assurer de faire mes devoirs dans la voiture, souligne le jeune homme de 17 ans. Alors que la plupart des gens ne feraient que dormir ou être au téléphone et parler, j’utilise mon temps efficacement, ce que je devrai faire à l’université. »

Maxime envisage également de futures occasions en tant que joueur pour l’équipe universitaire, et il pourrait bien se joindre à Alexandre dans un des meilleurs programmes collégiaux de volleyball avant de commencer sa carrière au sein de la conférence universitaire du Québec.

« Nous sommes très proches l’un de l’autre, nous nous comprenons très bien, et c’est vraiment amusant, dit Maxime à propos de sa relation avec son frère aîné. C’est tellement extraordinaire de pratiquer du sport en famille ainsi. »

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