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Rubrique Rebelle: Diplômée L-R a surmonté une blessure grave et la pandémie pour jouer au basketball universitaire

Par Ottawa Sports Pages, pour les Rebelles de Louis-Riel

Maryse Miaro

La dernière année de Maryse Miaro à l’École secondaire publique Louis-Riel s’est débutée du mauvais pied – littéralement – mais maintenant, son avenir sportif et académique semble être très radieux.

La joueuse de basketball Rebelle vient de recevoir son diplôme secondaire et se joindra à l’alignement des Ridgebacks de l’Université Ontario Tech cet automne. En septembre 2020, lorsque Maryse a déchiré son tendon d’Achille, ses rêves sportives ne paraissaient pas être aussi prometteurs.

« C’était une expérience assez étrange de ne pas être capable de jouer pour une période prolongée », indique Maryse, qui s’entraînait d’habitude presque chaque journée de la semaine au sein de l’Académie de basketball féminine de Louis-Riel.

Pour s’adapter à la pandémie, les Rebelles ont fait des entraînements en ligne pour maintenir leur volume régulier, en utilisant leurs sous-sols ou garages pour pratiquer leurs habiletés de dribble et tir. Maryse explique que ses parents et son entraîneur André Desjardins l’ont aidé à garder sa motivation.

« J’ai joué au basket en sautant sur un pied. J’ai pu garder la mentalité d’être athlète, même si je n’étais pas capable de participer autant », note Maryse. « J’avais plus de temps pour la pratique de mes habiletés individuelles. Et je crois que tout cela m’a aidé à développer l’autodiscipline. »

En surmontant les défis de sa blessure et la pandémie, M. Desjardins croit que Maryse a acquis la ténacité requise pour exceller dans le sport universitaire.

« Elle s’est vraiment bien développée au cours de la dernière année et demie », dit l’ancien entraîneur des Équipes Ontario et Canada. « Je crois qu’elle sera une joueuse qui ajoutera beaucoup d’énergie au groupe – bonne physique, et une très bonne coéquipière. »

Le programme Sports-Études de Louis-Riel a beaucoup aidé pour se préparer à affronter la dernière année, signale Maryse.

« Selon moi, ce qui distingue Louis-Riel, c’est le soutien des enseignants, qui sont vraiment investis dans notre réussite dans le sport », ajoute Maryse, qui rejoindra son ancienne coéquipière des Rebelles, Bilan Khadar, une diplômée de 2019, à Ontario Tech. « Ce n’était pas moi seule qui voulait réussir – c’était tout le monde à l’école. »

M. Desjardins se sent « super fier de Maryse, et les filles plus jeunes, et comment elles se sont comportées cette année. J’ai hâte de voir quel sera le prochain chapitre. »

Pour Maryse, ça se déroulera sur le terrain à Oshawa. En plus de rester sur le campus lorsque l’automne arrive, elle a très hâte d’avoir la chance de se tester face à des athlètes universitaires.

« Pouvoir jouer à un plus haut niveau contre ses femmes qui se sont entraînées toute leur vie pour se rendre où elles sont maintenant – je suis tellement prêt à jouer, » conclut Maryse.

Apprenez-en plus sur l’Académie de basketball féminine de Louis-Riel en téléchargeant ce dépliant, et sur d’autres volets disponibles au: https://ottawasportspages.ca/louis-riel-sports/

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