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Des entraîneurs de hockey de l’école Louis-Riel partagent la même passion même s’ils n’y travaillaient pas à la même époque

Au moment où Mark Dregas a commencé à être entraîneur, Dan Sauvé chaussait ses premiers patins. Bien que les deux coentraîneurs de hockey du programme Sports-études n’aient pas tout à fait le même âge, ils sont tout aussi dévoués l’un que l’autre envers leurs joueurs.


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–Par Ottawa Sportspage, pour les Rebelles de Louis-Riel

Au moment où Mark Dregas a commencé à être entraîneur, Dan Sauvé chaussait ses premiers patins. Bien que les deux coentraîneurs de hockey du programme Sports-études n’aient pas tout à fait le même âge, ils sont tout aussi dévoués l’un que l’autre envers leurs joueurs.

Dregas a accumulé une expérience de plus de 25 ans comme entraîneur et comme enseignant en travaillant à plusieurs endroits et pour plusieurs équipes, dont les Gee-Gees de l’Université d’Ottawa, le hockey junior A et (depuis longtemps) à l’école Louis-Riel. Quant à Sauvé, il est l’une des vedettes montantes de la région. En effet, à l’âge de 29 ans, il est le plus jeune entraîneur en chef et directeur général au sein de la Ligue centrale de hockey junior A, avec l’équipe des Rockland Nationals.

« Notre école a engagé des entraîneurs de hockey junior A. Je trouve ça fantastique », déclare Nadia Fournier, joueuse de hockey dans le cadre du programme Sports-études de Louis-Riel et pour les Lady 67’s d’Ottawa. « Ça nous donne une idée du jeu à ce niveau. »

Dregas et Sauvé, qui passent leurs après-midis sur la glace avec les membres du programme de hockey de Louis-Riel, s’entendent pour dire que le secret du succès dans ce sport demeure le même depuis des décennies, soit qu’il faut travailler dur.

« Le hockey est très compétitif. Si un joueur ne donne pas son 100 % pendant son entraînement hors-glace, un autre joueur le fera à sa place », fait remarquer Sauvé, qui a déjà été un défenseur de style offensif qui comptait près d’un point par match lorsqu’il était membre des Grads Jr. A de Cumberland et des Olympiques de Gatineau.


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« Il faut aimer s’entraîner autant que de jouer », acquiesce Dregas, qui est devenu entraîneur à un âge relativement jeune, inspiré par son ami Guy Lalonde, qui a été longtemps adjoint aux Olympiques et qui a fait ses premiers pas sous l’égide de Claude Julien, entraîneur en chef des Canadiens de Montréal.

Les coentraîneurs œuvrent en coulisse à la préparation de leurs élèves-athlètes à des rôles plus prestigieux. À Louis-Riel, lorsque l’élève est sur la glace, on ne lui enseigne pas des stratégies d’équipe comme l’avantage numérique ou les systèmes défensifs. L’apprentissage ressemble plutôt à un long camp d’été mettant l’accent sur le perfectionnement des compétences individuelles.

« Il est extrêmement gratifiant pour nous de voir nos élèves s’améliorer et de lire la joie dans leur visage lorsqu’ils nous racontent qu’ils sont passés de la ligue locale A à la ligue élite B ou de la ligue élite B à A ou AA », souligne Dregas, diplômé en biochimie de l’Université d’Ottawa et entraîneur certifié ayant atteint le niveau 4 dans le cadre du Programme national de certification des entraîneurs.

Bien que Dregas ait aidé à maintes reprises les Rebelles à remporter des médailles au tournoi franco-ontarien de hockey et à l’occasion des parties disputées à la Fédération des associations du sport scolaire de l’Ontario, ce sont les progrès personnels des joueurs qui font le plus plaisir aux deux entraîneurs. Quoiqu’on entende beaucoup d’histoires sur le niveau impressionnant atteint par certains élèves – surtout le fait qu’Erik Gudbranson, qui est devenu défenseur pour les Canucks de Vancouver, soit le 3e joueur repêché en 2010 – le dévouement quotidien des entraîneurs procure des avantages à long terme à tous les participants.

« Certains de nos jeunes sont d’excellents joueurs de hockey; d’autres sont des joueurs moyens. L’important pour nous, c’est qu’ils sont tous ici pour améliorer leur jeu », souligne Sauvé, entraîneur certifié ayant atteint le niveau Haute performance 1 du Programme national de certification des entraîneurs. « Le programme compte une foule d’élèves très doués qui s’encouragent les uns les autres. Mais, ce qui compte encore plus pour nous, c’est que nous produisons de bonnes personnes. »


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