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L’équipe de danse prend sa place au sein du programme sports-études de l’école Louis‑Riel

En adhérant au programme de danse de l’école secondaire Louis-Riel, qui gagne rapidement en popularité, Carolane Fortin, Emily Gratton et Mackenzie Houle ont l’impression d’explorer un autre univers – une impression qui n’est pas sans rappeler le sentiment qu’elles éprouvent lorsqu’elles montent sur les planches.


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Par Ottawa Sportspage, pour les Rebelles de Louis-Riel

En adhérant au programme de danse de l’école secondaire Louis-Riel, qui gagne rapidement en popularité, Carolane Fortin, Emily Gratton et Mackenzie Houle ont l’impression d’explorer un autre univers – une impression qui n’est pas sans rappeler le sentiment qu’elles éprouvent lorsqu’elles montent sur les planches.

« Ce que je préfère dans la danse, c’est que je peux échapper à ce monde et tout changer, explique Mackenzie, qui adore la danse depuis l’âge de 2 ans. Nous transformons les émotions de nos spectateurs sans dire un seul mot – en nous servant simplement de nos expressions faciales et de nos mouvements. Notre troupe de danse est une famille tricotée serrée : j’adore la façon dont nous créons des liens les uns avec les autres et dont nous racontons une histoire inédite. »

Carolane, Emily et Mackenzie dansent depuis des années à l’École de danse Louise, studio qui, la dernière année scolaire, s’est associé à Louis-Riel en vue de lancer un nouveau volet au sein du programme sports-études. Elles racontent toutes comment elles ont développé leur confiance en elles par la danse, comment elles ont appris des choses nouvelles, comment elles ont acquis de nouvelles compétences et comment elles ont noué des liens personnels solides.

« Les moniteurs de danse sont devenus une deuxième famille; ils sont comme mes parents, dit Carolane à propos de l’École Louise. J’ai commencé mes leçons à l’âge de 4 ans et je suis encore ici. »

Le plus gros changement depuis leur inscription au programme conjoint de Louis-Riel et de l’École Louise, c’est que, désormais, elles peuvent suivre leurs leçons de danse pendant les heures de classe (et recevoir ainsi un crédit en éducation physique). Ce changement leur permet de passer plus de temps avec leur famille (biologique) au cours de la soirée.


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« Avant, je finissais les cours à 14 h 30 et je commençais à 16 h ou à 17 h mes leçons de danse qui se terminaient tard en soirée, avoue Emily. Après cela, je faisais mes devoirs très tard le soir et je les faisais moins bien que maintenant. »

Les trois filles ont toutes changé d’école et se sont mises à fréquenter Louis-Riel lorsque cette école a lancé son programme de danse.

« Sincèrement, j’hésitais parce que je voulais continuer d’être avec les amis que je m’étais faits à mon ancienne école, se souvient Carolane. Mais, maintenant, mes soirées sont libres et je peux les voir quand j’en ai envie. »

Les filles s’inscrivent en masse à un nouveau sport à Louis-Riel

Les trois pionnières que nous avons mentionnées faisaient partie de la première vague inscrite au programme, qui se composait de douze danseuses. La deuxième année, on en compte désormais vingt-neuf.

Louis-Riel s’est efforcé d’ajouter des sports traditionnellement plus féminins, dont la claque. Par ailleurs, l’initiative Fillactive à Louis-Riel crée une atmosphère propice aux activités pratiquées par les filles. Offert en 7e et en 8e années, le programme sports-exploratoires compte désormais autant de filles que de garçons qui y sont inscrits.

« Il est important que les filles aient l’impression d’avoir les mêmes chances que les garçons de pratiquer des sports et de faire de l’éducation et de l’entraînement physiques, souligne Ken Levesque, coordonnateur sports-études à Louis-Riel. Nous sommes très très satisfaits de voir à quel point ce programme est devenu populaire et à quel point il remporte du succès. »

S’exerçant dans les installations dernier cri de l’école, les danseuses ont pu se consacrer davantage à leur préparation physique, à leur entraînement, à la prévention des blessures et à leurs périodes de repos.

« Même si l’entraînement est adapté aux besoins des danseuses, nous avons toutes un corps différent – il est possible que mes jambes ou mon dos soient moins forts que ceux d’une autre danseuse. C’est pourquoi nous suivons toutes un programme individualisé en plus de l’entraînement commun », explique Carolane.

De plus, chaque athlète s’est fixé ses propres objectifs. Beaucoup d’entre elles veulent tout simplement demeurer actives et passer du temps avec leurs amis; d’autres souhaitent communiquer leur amour de la danse en devenant monitrices; d’autres enfin veulent passer des auditions devant des écoles prestigieuses à Toronto ou à New York City et devenir danseuses professionnelles.

« Il y a tellement de possibilités, souligne Mackenzie. Il y a une foule de choses qu’on peut faire même si on ne veut pas étudier la danse à fond. On peut devenir artiste, enseigner, aller à des congrès. Les possibilités sont infinies. »

Maintenant qu’elles sont parvenues au cycle supérieur, les trois filles ont commencé à songer à ce qu’elles veulent faire après l’école secondaire.

Même si elles décident bientôt de suivre des voies différentes, elles comptent rester en contact, quoi qu’il arrive.

« Nous sommes toujours ensemble. C’est agréable d’être avec des gens qui nous comprennent, ajoute Mackenzie. Nous avons sans aucun doute forgé une amitié solide qui se poursuivra après la fin de l’école secondaire. Nous sommes devenues tellement proches les unes des autres. »


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